La présomption d’innocence n’existe pas pour M. Ramadan alors que pour Polanski, tous ses coreligionnaires avaient ce mot à la bouche malgré les preuves matérielles toutes fraîches, et le quasi flagrant délit.
Là sur la base de deux témoignages dont l’instruction est en cours, toute la meRdiasphère s’est emballée comme un seul homme.