La virilité fera-t-elle un retour en 2018 ?
19 janvier 2018 23:26, par Monica Whynote
Bonjour. Je vais tenter de ne pas pousser à l’extrême. Votre article me partage. D’un côté, je suis d’accord que si un homme veut être viril et je ne sais trop quoi, qu’il le fasse. Mais insinuer que les féministes sont des personnes qui poussent les hommes à se féminiser et à devenir faible en pleurant et montant leurs émotions ? Pas d’accord. Et cette jungle dont vous parlez semble fatale. Et pour peu qu’on ai ce qu’il faut entre les jambes il faudrait s’y jeter, tête baissé ? Non. Et je ne pense pas que posséder de la testostérone vous force à devoir cacher vos émotions pour paraître fort.
Je cite :"Est-ce un assaut de regarder une femme et de penser à des pensées que vous ne partageriez pas avec votre propre mère (sauf si vous êtes un pervers) ?" Hé bien oui. Parce que ça s’appelle "mater". Et mater en fantasmant, bah ça met mal à l’aise. Vous parlez du fait qu’aborder une femme n’est pas du harcèlement. C’est vrai. Mais persévérer pour atteindre une relation ? Préserver veut dire retenter après échec. Donc persévérer pour obtenir une relation... Bah c’est retenter après un stop.
Mais si vous voulez restaurer la jungle masculine, fais comme bon vous semble. Ça ne me concerne pas. Mais dire que ne pas se battre pour dominer cette jungle est un signe de faiblesse est faux. Et si un garçon ne veut pas se battre et exprimer ses sentiments, cela ne veut pas dire qu’il est faible ou féminisé. Juste qu’il a fait un choix. Un choix s’il est imposé, n’est plus un choix.