Relativisons. La docilité immédiate d’Anne Hidalgo à libérer la bouche de chaleur (opérationnelle ou non) est un signe. Les "clodos" sont aujourd’hui à Paris tziganes ou africains, beaucoup plus africains que tziganes, ces derniers s’organisant pour se faire loger via les enfants, ou se faire des villages de cabanes.
Les clodos traditionnels sont là aussi, dont un certain nombre d’Européens en galère. On les perçoit moins. Ils ne sont pas la priorité d’AH et meurent l’hiver dans la rue, à raison d’un demi-millier par an, parfois jeunes.
Paris est aujourd’hui littéralement envahi de migrants jeunes et africains. En hiver ils sont ramassés en partie dans des cars et logés collectivement on ne sait où. Mais on les voit dormir en journée dans les trams, les trains, dés 18H. On les côtoie partout dans les transports publics où ils contribuent à l’entassement et à la propagation éventuelle de virus.
Paris n’a pas les moyens de la politique crapulo-sorosienne, et sa caste de fonctionnaires gavés aime beaucoup départager, certainement pas partager.
C’est donc le Parisien moyen et semi-pauvre qui subit les nuisances de la clochardisation montante, touchant par ailleurs progressivement les moyens-pauvres qui discrètement s’enfoncent, Paris étant une ville chère pour l’habitat et les services.
Quelques-uns en profitent : des marchands de sommeil, des médecins et avocats véreux, des associations, des fonctionnaires, etc. L’entreprise privée souffre : les migrants font fuir le chaland, Paris achève de perdre la face. Les migrants eux-mêmes, même sans abri, coûtent très cher. Pendant ce temps les réseaux ferrés et services publics se dégradent.
Paris claudique et clodote en périphérie, à l’Est, au Nord, et même au centre.