De Noël, n’en déplaise aux séculiers contemporains et comptant pour rien tant ils n’ont apporté aucunes traditions ( 220 piges pfff), et quand bien même ledit Noël doit
le choix dans sa date (et non pas le doigt dans sa ch... comme le disait Trump) à notre bon Papi Liberius qui, s’emmerdant un jour de 354 au coin du feu, qu’il choisit le temps des paiennes Saturnales fêtant le soleil invaincu (Sole Invictus) : sept jours de java pour fêter le retour de la lumière, les jours rallongeant, pour placer son truc fédérateur ; bonne idée au demeurant. Aujourd’hui c’est le foot, les réseaux sociaux ou la téléréalité. La bonne affaire !
D’autant plus se disait-il, que comme nous ne savons pas exactement quand est né notre lascar, cela irait bien.
Quant au sapin, il semble que ce soit les Alsaciens qui aient « pompé » sur les romains qui décoraient leurs piaules de verts branchages pour égayer l’hiver, ceci, pour les Schtroïsackrutscher et autres Elsàssiens, afin de tirer la bourre à leurs « collègues » catholiques qui décoraient, eux, la crèche. On s’âme_use comme l’on peut : user au sens de l’utiliser à bon escient.
Donc, on s’en bat les noix (et les douze autres desserts) de qui reprend qui : c’est une tradition adaptative séculaire qui fête la nativité. Nativité de qui, on s’en tamponnerait presque, de quoi ; du soleil. Et voilà qu’il est bon de faire la fête de la nativité au sens où chacun veut bien l’entendre, tant que les jours rallongent et que l’on puisse se faire enfin dorer la pilule plutôt que d’avoir à l’avaler.
Que les séculiers frappant d’ostracisme et autres chouraveurs de « Lumière » qui devrait nous revenir, s’occupent de mettre à genou, à leurs pieds la Bête « Capital » et qu’ils offrent le contrat social qu’offrait la charité des réguliers, aux plus démunis, et l’on en reparlera...
Car au-delà des clergés et autres querelles de clochers, c’est bien le seul message qu’offre cette fête : (s’)offrir à l’autre, à l’aune d’un jour nouveau.