Cette Inna est le parfait produit du féminisme : jeune et ayant (pratiquement) tout son physique pour elle, se voyant des qualités qu’on lui a attribué et pour lesquelles elle ne s’est pas foulée, se croyant disposant d’un pouvoir mais qui ne lui revient que parce qu’on lui a bien donné, narcissique et cherchant à devenir le centre du monde, uniquement parce que son entrejambe.
On en reparlera (ou pas d’ailleurs) dans une dizaine d’années, quand la nature humaine aura repris ses droits sur son corps, quand plus personne ne voudra d’elle, quand elle ne sera plus qu’un coup de plus dans le palmarès de ceux qui l’ont utilisée et fait en sorte qu’elle beigne dans ses illusions, et qu’elle finira seule dans un appartement minable avec une flopée de chats.
Le féminisme, en fin de course comme il est aujourd’hui, est un piège où tombent facilement beaucoup de jeunes femmes par bêtise ou par naïveté, qui leur fera perdre les plus belles années de leur vie, où elles ont investi tous leurs atouts pour combattre les hommes, ces mêmes hommes qu’elles chercheront désespérément passées un certain âge et après lequel, ne leur restera que l’amertume et le désir d’attirer les plus jeunes afin qu’elles empruntent le même chemin. Celles qui s’en sortent à temps auront compris ce manège et passent souvent dans le camp opposé pour faire un travail de prévention.
Sinon
« ... intellectualisme révolutionnaire »
Se balader aux trois quarts nu s’appelle de l’exhibitionnisme.
« après avoir impitoyablement écarté... »
J’avais, pendant un instant, peur de lire la suite.