« La journée s’est conclue par une intervention de l’économiste Ettore Gotti Tedeschi, ancien Président de l’Institut pour les Å’uvres de Religion (IOR), qui a proposé une lecture originale de la liturgie catholique à travers les catégories de l’économie. Il a souligné en particulier que la liturgie, tout comme l’économie, quand elle est détachée de la moralité et de la destinée éternelle de l’homme, produit l’effet contraire de celui escompté, à savoir améliorer la condition de l’homme. Il a tiré de ce principe une critique du Novus Ordo Missæ, qui est né, a-t-il déclaré, « au même moment historique, avec le même but et avec quasiment le même nom que le Nouvel Ordre Mondial (NOM) ». En conclusion, il a souhaité que le motu proprio Summorum Pontificum, en permettant une plus large diffusion du rite ancien, puisse restituer à la liturgie cette unité du culte et de la morale, et en faire de nouveau l’expression de la destinée éternelle de l’homme. »

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