Pour ma part, je ne me contente que de womanspreading ; à la seule et unique condition qu’il ne dépasse pas le 40 en taille française et qu’il s’accompagne d’un brainspreading propice à l’échange hétérosexuel...
Et puisque l’on prend de l’altitude redescendons vers un point milieu derrière lequel se loge le coeur, mais qui doit en revanche être à l’opposé de ce qui est attendu pour le point plus bas et qui nécessite là, un womancleavage, où le 95C represente un minimum...
Car ne nous voilons pas intégralement la face : 90% des types se mettent instinctivement au garde-à-vous devant ce qui leur semble être leur idéal, remballent les gaules et sont prêts à toutes les compromissions pour se faire bien voir de celle(s) qui en porte(nt) les aspects. Là (res)sortent tous les bouquins de savoir-vivre, de drague et autres jeux de séduction.
9% sont les « j’en foutre » qui ont d’autres orientations ou intérêts, jusqu’aux bien éduqués qui rangent tout, tout le temps.
Les 1% que souligne la conférencière Marjo, ne remballent jamais rien jusqu’à ce que, suffisemment costaud, tu leurs pètes les rotules.
Donc le manspreading, j’ai presque envie de leur dire qu’on s’en bat les noix.
Et pour l’anecdote qui contredit les féministes - et autres jeteurs d’oprobe à la pseudo racaille des transports en communs -, lors de mon dernier voyage en TGV, en 1ère, une vieille bouboule blanche (qui ne mérite pas, là, l’appélation bienséante de « personne agée bien portante »), qui devait se sentir comme chez elle, a fait le voyage en compartiment, les pieds dans ses Crocs™ posés sur le siège en face, les roulettes de sa valise sur le siège d’à côté et pas un képi pour lui faire bouffer les 38€ d’amende, quand bien-même ils sont passés et repassés durant les deux heures du trajet. Photos à la clefs.