Femmes 2.0, féminisme et transhumanisme : quel avenir pour la femme ?
7 avril 2017 00:00, par Edouard
Le mariage pour tous devait, quoi qu’il arrive, et peu importe le nombre de manifestants, être voté pour ouvrir la filiation à tous, et le marché de la GPA et de l’utérus artificiel.
Si le mariage est ouvert à tous, la filiation est rendue possible alors à deux hommes ou deux femmes, donc la PMA ou la GPA pour deux hommes par exemple.
La pensée du « gender » théorise et intellectualise ce que la technique rend aujourd’hui possible.
En niant l’altérité sexuelle, on insinue dans la tête de l’humain moyen qu’une femme et un homme sont égaux et que la procréation n’est pas l’apanage de la femme.
En développant la pornographie, on souhaite différencier l’acte sexuel de la procréation.
La procréation devient un acte médical ouvert à tous. La GPA et l’utérus artificiel sont la réponse du marché à cette demande créée artificiellement en pervertissant les mentalités, l’esprit de l’homme.
Dans quel but ? Celui du fric encore une fois. On fait entrer la loi du marché et le libéralisme dans un sanctuaire encore préservé. Imaginez le marché en valeur que représente le produit « bébé » vendu cinquante mille dollars à plusieurs millions de client(e)s dans le monde. Des sommes vertigineuses en dizaines ou centaines de milliards de dollars.
Cela valait bien une petite loi cachée sous la pudeur du soit disant progrès. L’histoire nous dira peut-être un jour combien d’argent ont touché des GAFA notre heureusement très prochainement ex président, son ex ministre de la justice et les parlementaires européens faisant la promotion du « gender » et du transhumanisme. Sous la dénomination GAFA, on cite ainsi Google, Apple, Facebook et Amazon, les premiers investisseurs au monde dans ces technologies transhumanistes, dites aussi NBIC.