Dans l’article, et c’est mentionné, les sources et les références de la « patrie portative » du peuple juif sont spécifiquement l’Ancien Testament ou La Bible hébraïque.
Son titre générique inclusif, « La source biblique du sionisme », prête cependant à confusion pour les chrétiens non sionistes et leurs semblables. À ce niveau, la précision ne peut être un luxe offert au lecteur.
L’hypothèse biblique de la terre promise et ses morceaux textuels choisis ici sont très réducteurs de La Bible (patrimoine de tous les craignants Dieu) et diaboliques, sans le créateur et propriétaire (de la terre) Dieu ni le Nouveau Testament et la justice de Dieu.
Le Nouveau Testament, qui est l’accomplissement de l’Ancien Testament ou l’ancienne Alliance de Dieu avec le peuple juif, ne légitime nulle part la géopolitique contemporaine et les allégations bibliques nulles des pères fondateurs sionistes d’Israël.
À ce propos, l’auteur de l’épître aux Hébreux écrit, au chap. 8 :
7 En effet, si la première alliance avait été sans défaut, il n’aurait pas été question de la remplacer par une seconde. 8 Car c’est avec l’expression d’un blâme que le Seigneur dit à Israël : Voici, les jours viennent, dit le Seigneur, où je ferai avec la maison d’Israël et la maison de Juda Une alliance nouvelle, 9 Non comme l’alliance que je traitai avec leurs pères, le jour où je les saisis par la main pour les faire sortir du pays d’Égypte ; car ils n’ont pas persévéré dans mon alliance, et moi aussi je ne me suis pas soucié d’eux, dit le Seigneur. 10 Mais voici l’alliance que je ferai avec la maison d’Israël, après ces jours-là, dit le Seigneur : Je mettrai mes lois dans leur esprit, je les écrirai dans leur coeur ; et je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple. 11 Aucun n’enseignera plus son concitoyen, ni aucun son frère, en disant : Connais le Seigneur ! Car tous me connaîtront, depuis le plus petit jusqu’au plus grand d’entre eux ; 12 parce que je pardonnerai leurs iniquités, et que je ne me souviendrai plus de leurs péchés. 13 En disant : une alliance nouvelle, il a déclaré la première ancienne ; or, ce qui est ancien, ce qui a vieilli, est près de disparaître.