On voit bien que M. Ozon est en réalité très versé sur la philosophie politique et que son discours est d’une complexité assez exemplaire, aux antipodes de toutes les caricatures qu’on peut en faire.
Son combat est mené avec sérieux et ténacité, et je pense qu’il a conscience de la largesse du problème, qui va au-delà de la problématique du remplacement de population : l’espace engendré par le cosmopolitisme de l’intégration multiculturaliste ne se réduit alors plus qu’à la liberté totale pour le spectacle du marché et la prédation domesticatoire de l’argent-roi (partie 2, 10:00).

N’oublions jamais les vrais ennemis que sont l’État et l’argent-roi, et ayons une ligne intransigeante, d’intelligence et d’éveil à l’égard de tous les mensonges du monde, pour que l’âme de notre souche européenne ne s’éteigne jamais.