Précarité et pauvreté : une bombe à retardement ?
10 octobre 2016 01:41, par goy pride
Ils arriveront à gérer cela. Il leur suffit juste de patienter que les "vieux" (les plus de quarante ans) se rappelant encore des fastes du passé et ayant certaines attentes dans leur vie passent l’arme à gauche pour que les choses deviennent beaucoup plus simples à gérer. Les jeunes d’aujourd’hui, tu leur offres une piaule de 20 m², bien chauffé l’hiver, une connexion internet, un abonnement satellite, un accès à quelques loisirs (club de sport, muscu, McDo, Disneyland...), du cannabis et un RSA ("Revenu universel")...et tu les tiens au calme indéfiniment. Le problème c’est juste les vieux cons exigeants qui se rappellent d’un temps où un homme rêvait d’un emploi stable, d’un salaire lui permettant d’acheter une maison ou un appartement et de fonder une petite famille...tout ça de nos jours c’est "old school", suranné...
Quant à la révolte de la classe moyenne entrepreneuriale ils attendront patiemment que la classe entrepreneuriale disparaisse d’elle même comme ils l’ont fait avec la paysannerie. Le tout c’est de trouver un équilibre subtile, faire en sorte à ce que les entrepreneurs installés vivotent à un niveau juste suffisant pour qu’ils ne se révoltent pas trop, attendre qu’ils prennent leur retraite et empêcher leur remplacement par des nouveaux arrivants...