C’est tout de même incroyable ! Des types venant des quatre coins de l’Europe décident de s’approprier des terres, d’en chasser et d’y massacrer ceux qui y vivent, sauf, bien sûr, leurs coreligionnaires et de s’y installer. Et puis, les générations suivantes s’appliquent à y poursuivre l’épuration ethnique que les pères fondateurs du sionisme ont considérée comme un acte inévitable pour l’accomplissement du projet sioniste. La « communauté internationale », quant à elle, se casse les reins à force de salamalecs mais ne fait rien ! Pire ! Dans toute son imbécilité, elle ferme niaisement les yeux et continue de renforcer l’impunité des sionistes psychopathes à coups de lois et d’actes répressifs contre toute forme de protestation contre ce régime sanguinaire et génocidaire dont l’élite ose encore et toujours présenter leur colonie et ses ressortissants de religion juive comme les véritables victimes. Pourtant ce sont eux, les occupants, que dis-je ?, les agresseurs venus d’ailleurs !!! Et en plus, sans une once de vergogne et en dignes mythomanes, ils ont l’audace d’accuser les Palestiniens d’exiger une épuration ethnique tout en incriminant les Nations unies d’adopter cette exigence inexistante !
Et comment va réagir la « communauté internationale » ?
Et bien, comme elle le fait depuis la publication dans le Times (GB), le 9 novembre 1917, d’une lettre adressée le 2 de ce même mois à un certain Lionel Walter Rothschild par un certain Arthur Balfour.
En tout état de cause et comme à l’accoutumée, preuve est faite que l’inversion accusatoire est le propre du sionisme. Mais cette nouvelle démonstration d’arrogance aveugle, aussi méprisable qu’immonde, était-elle nécessaire ?