« C’est un processus subtil et silencieux, mais profond, dans le cadre d’une révolution culturelle en plein développement dans le plus pur style gramscien : c’est-à-dire en changeant la manière de penser de sentir des gens par le contrôle de l’éducation et des moyens de communication, et en ôtant son prestige à la foi de ceux qui croient », a-t-il noté.
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"..Le P. Astaburuaga voit dans le mondialisme un vecteur privilégié de cette révolution athée. Pour lui, la population latino-américaine est comme endormie par « l’existence d’un nombre incalculable de sous-cultures qui se sont répandues dans l’ensemble du tissu social pour le diluer jusqu’à le rendre inconsistant ». « C’est-à-dire : les idéaux d’une patrie commune et des valeurs d’un peuple sont réduits ensemble par une globalisation sans paysage humain », a-t-il dénoncé.
Ca vous rappelle pas quelque chose "comme chez nous" ? -
Ce cliché social imposé secrètement pendant des décennies, cette ingénierie sociale en Amérique Latine est le miroir identique et absolu à nos sociétés Européennes. En conclusion, le Quartier General qui donne des ordres chez nous et chez eux — est le même. Qui est alors le complotiste ? Les peuples qui ont compris le jeu (et pourtant, la dénomination "complotistes" leur ait été accolé) ou les think-thanks et médias accusateurs de la partie opposée ??
La révolution visible antichrétienne, celle de l’intérieur de l’Eglise de l’Amérique Latine a commencé depuis l’Argentine avec le venue de Bergoglio, qui ne cesse pas à choquer les catholiques.
En Russie et en Allemagne il y a aussi un retour "aux sources" paganiques polythéistes sans toutefois détruire les Eglises et les Crucifix.