Je n’ai pas de juif dans mon entourage.
Il y a quelques mois je n’étais pas du tout politisée. Tout ce que je connaissais des juifs c’était leur présence médiatique à laquelle je ne faisais pas vraiment attention.
Après les attentats de novembre j’ai eu la sensation de plus en plus dérangeante que quelque chose n’allait pas dans ma façon de percevoir ce qui se passait.
Je me suis mise à lire, à regarder des conférences, à m’instruire, à me débrancher peu à peu de la matrice.
Je fus surprise de constater qu’à chaque fois que je me penchais sur un problème, chaque fois que je me mettais à détricoter quelque chose que je ne trouvais pas normal, chaque fois que grandissait l’impression d’avoir été manipulée, chaque fois ça m’amenait d’une façon ou d’un autre à des personnes affiliées à Israël.
Je me suis intéressée à l’histoire et encore une fois la question juive revenait toujours de façon plus ou moins indirecte.
Ne connaissant aucun juif, j’aurais pu en conclure bêtement que le problème venait des juifs en globalité. J’aurais pu vouloir blâmer les juifs pour les agissement d’une minorité.
Si je ne suis pas devenue antisémite face à tant de choses qui m’ont révolté c’est en très grande partie grâce aux vidéos d’Alain Soral qui m’ont fait très bien comprendre que cette minorité agissante est aussi l’ennemie objectif du peuple juif qu’elle prend en otage et s’en sert comme bouclier. Ce sont les mêmes maitres qui nous asservissent tous.
Alors quand je vois des gens semer l’antisémitisme par leur malhonnêteté, prostituer la mémoire de ce peuple pour des intérêts criminels et dire ensuite que le danger vient de monsieur Soral, ça me fait bien rire.
J’ai aujourd’hui la conviction que le seule façon de lutter contre l’antisémitisme c’est d’éveiller les gens, de leur donner de vraies clés de compréhension, même si la réalité est dérangeante, au lieu de les manipuler pour les obliger à "bien penser".