Qu’est-ce qui détermine notre intelligence ? La controverse génétique
13 mai 2016 14:53, par Free
Si la société tripartite est la seule société véritablement viable (à un certain seuil de population, même si celle ci reste la seule viable à toute échelle) et qu’elle le prouve dans l’histoire et encore aujourd’hui face aux méandres de la société moderne, c’est qu’elle tient compte d’un fait : les types de personne. Certains sont plus "scientifique" d’autres plus "artistes", d’autres "pratiques". Ou en d’autres termes, il y a intellect (et pas intelligence), intuition et pragmatisme. L’intelligence se reflète dans chacun de ces cas et seule la sagesse définie une hiérarchie dans l’apprentissage des personnes. On peut être prix Nobel et voter Hollande comme simple paysan et écouter Soral. Tout est dit.
En ce qui concerne la simple articulation synaptique dans la résolution d’un problème quelconque c’est l’apprentissage qui prévaut. Le cerveau est un muscle.
N’importe qui né pour devenir ingénieur avec une instruction dès le plus jeune âge dans cette voie deviendra un plus ou moins bon ingénieur. La mascarade de la liberté d’orientation républicaine n’est qu’une illusion de la méritocratie qui ne tient pas compte des multiples facteurs sociaux, personnels, culturels... aujourd’hui dans un monde coupé de toute transcendance on ne jure que par le QI. Mais c’est évidemment un ensemble à la fois plus simple et plus complexe qui défini une personne. La génétique concerne peut être ce potentiel d’articulation synaptique, mais le cerveau n’est qu’un outil et la qualité de ce dernier ne détermine pas la façon dont on s’en sert.