Le piège tendu par Poutine en retirant le contingent russe de Syrie
24 mars 2016 11:27, par ici la monnaie
Effectivement, Poutine ne doit pas se presser ; l’axe de Shangaï fait son trou au moyen-orient patiemment là-bas (chinois à djibouti, sous-marin iranien, accès de Poutine à la méditterrannée via tartous et la crimée)...
C’est donc bien joué ; tant que la côte du levant est stabilisée, al-Assad ne chutera pas.
Concrètement, l’état islamique, c’est Mossoul ; (ce qui explique qu’Erdogan soit obsedé par cette ville) si la ville tombe, le reste suivra : Poutine est donc conscient que le reste n’est que du menu-fretin, le tout étant de stabiliser la Syrie, d’autant que la marionnette EI échappera aussi à ces créateurs avec le temps (les turcs en font malheureusement les frais....)