Dans sa cuisine, elle en a sauvé quelques uns, peut-être qu’un ou deux.
Et heureusement qu’à cette époque elle a trouvé la force de réprimander les chapardeurs de navets, car la vie de ces un ou deux en a dépendu
Pendant ce temps là, le lobby qui n’existe pas faisait bombarder Dresde,
trois jours et trois nuits de suite,
sans aucun intérêt stratégique, absolument aucun,
alors qu’on savait la ville saturée de réfugiés,
soit tous ceux qui par leur âge ou leur condition n’avaient pu porter un uniforme, femmes, enfants, infirmes, vieillards sans défense,
brûlés vifs au phosphore, les enfants devant les yeux de leur mère, les mères devant les yeux de leurs enfants
la ville, surnommée Venise de l’Allemagne, joyau de la Saxe, plus que rasée en fusion : le bitume brûlait
650 000 bombes incendiaires pour 300 000 morts innocentes et inoffensives ; en trois jours !
Soit 2 bombes par personne : 1 bombe pour le tuer et une bombe pour s’acharner
Ce sont les mêmes qui aujourd’hui font un procès à une grabataire pour deux navets qui ont du sauver deux petites vies anonymes, à la différence de leurs bombes qui en tuèrent des millions et des millions sur toute l’Allemagne martyrisée de l’après 1942 soit 8 millions de morts civils
Eux parfaitement prouvés
Ce sont les mêmes qui aujourd’hui appliquent les mêmes méthodes aux mêmes fins, avec la même cruauté et la même malhonnêteté intellectuelle, ajoutant au meurtre de masse aveugle l’inversion accusatoire supposée les absoudre,
Sous leurs bombes, la Palestine, l’ Irak,la Syrie sont devenues des Dresdes réactualisées.
Ils sont Charlie ?
Je suis Allemand !
Et pas n’importe lequel : celui d’avant 1945