L’État pourrait supprimer les aides aux éditeurs de jeux sexistes
13 janvier 2016 13:54, par KatiaPersonnellement, j’estime que la plupart des jeux posent plus de question quant à la banalisation de la violence et l’impossibilité de proposer une idéologie différente (c’est toujours l’américain qui y sauve le monde...contrairement à ce que l’on voit dans la réalité). Sans parler de l’aspect abrutissant de certains jeux où l’on a l’obligation de répéter sur des périodes de temps très étendues les mêmes actions, comme si on était à l’usine. Mais non, ils ont préféré être scandalisés par la place de la femme dans les jeux vidéos.
Je l’aurai mal si j’étais éditeur : toutes ces décennies à promouvoir des amazones aussi sexy que génocidaires ont donc été faites pour rien ?
Le plus beau, à ce qu’il paraît, c’est que les jeux les plus souvent mis à l’index par cette nouvelle inquisition ce ne sont pas ces jeux où la femme tue sans aucune modération, tout en étant habillée comme même une prostituée n’oserait pas se vêtir...mais bien des jeux comme zelda où l’on joue un personnage masculin qui va sauver une princesse (alors que soit-dit en passant...ce genre de jeu se termine rarement par le mariage forcé entre le héros et la dite princesse ou par l’obligation pour elle de "satisfaire" son sauveur...ça reste même assez prude).
Quand je vois ce qu’il s’est passé en Allemagne, je ne peux pas m’empêcher de penser à ce leitmotiv répété ad nauseum par les féministes : "Les femmes ne sont pas des princesses en détresse et les hommes n’ont pas à être des chevaliers servants !"
Pour quelle raison n’y avait-il pas d’allemands (de souche ou de branche) pour défendre ces allemandes face aux agressions sexuelles qu’elles ont subit à Cologne pendant les fêtes ?
C’est très dangereux comme expression, parce que ça sous-entend que, à l’avenir, pour ne pas tomber dans le stéréotype, il faudra laisser un femme se faire violer ou tuer tout en clamant haut et fort : "T’es libre, donc tu te démerdes ! (connasse)"
Féministe-totalitaire et homme-ado irresponsable vont très bien ensemble, finalement. Les premières justifient la passivité des seconds et les seconds sont ce que les premières "fantasment" comme "masculinité acceptable" (c’est-à-dire : des hommes sans masculinité).