Caroline Fourest, juge des intentions
12 décembre 2015 16:44, par calottin
Finalement, en écoutant cette dame écolo interviewée par Vincent Lapierre, on s’aperçoit que le grand drame de sa génération, c’est de ne pas avoir eu l’intuition que la religion pouvait être autre chose qu’une coquille vide façon Vatican-II, et que la sacralisation du sacrilège (blasphème, laïcité) ne sert à personne d’autre que ceux qui veulent imposer leur sens à eux du sacré.