La collusion -le mot est faible- entre la Justice et les partis politiques est ici encore parfaitement démontrée.
Me Danglehant ayant le courage de s’opposer à cette collusion anti-démocratique, et de donner le nom de ses bourreaux, il permet l’instruction future des procès en indignité nationale.

On comprend que tous les magistrats qui brisent leur serment, tous les politiques corrompus, tous les journalistes qui bafouent leur déontologie, fassent viscéralement campagne pour l’UMPS, et contre Marine Le Pen : ils ont terriblement peur.

Il n’empêche que l’on se souviendra encore de Me Danglehant dans cinquante ans, alors que certains enfants de ripoux auront changé leur patronyme.