Si l’UE "incarne" le conflit social dans la réalité de l’immigration, le populisme échappe à la théorie du complot moquée, pour s’enraciner dans le réel. Il abandonne l’ennemi supposé "méta-social" (la Finance, l’oligarchie mondialiste, Sion etc ...) pour désigner comme bouc-émissaire un ennemi "social" évident, sacrificiel de réconciliation comme dit René Girard. S’autoproclamer victime du colonialisme mondialiste capitaliste multietniqueur métis de Coudenhove-Kalergi, non seulement renforce son rôle de contestation de l’ordre établi, mais le populisme (notamment sud-américain) réussit vraiment qu’en s’appuyant sur une forte composante identitaire (indienne, Moralès, Peron). Nazisme/fascisme, la communauté archaïque sortie de l’histoire est le substrat du communisme, les tous-cousins islandais sont les seuls à avoir mis les banksters en taule ...
Soral parle de l’aveuglement de Lycurgue, selon lequel le citoyen infâme est celui qui n’est d’aucun des deux camps (ou dans les deux à la fois), dans la guerre que doit mener Sparte ...
Le 3eme Empire de Moeller Van den Bruck (Dritte Reich où plutôt 3e voie) développe le problème de l’identité qui bascule par facilité dans le racial. "Être allemand ce n’est pas être aryen, on peut être juif et allemand où aryen et pas allemand" ...
Mais la nation depuis est morte avec sa culture. Être benêt .... sujet du Roi nègre blanc Flanby, où du Roi judéo-pygmée Sakoo ... qui en voudrait ?