Synode : l’Église catholique devient-elle protestante ?
29 octobre 2015 16:58, par toto
Je ne comprends pas du tout l’attitude de l’église face à des subtilités de perditions dont elle a pleinement les moyens de faire entendre le discernement qui rallierait au dogme.
On aborde les questions sociales du mariage et de la famille par le plus bas, les "circonstances" dans lesquelles chacun aura beau jeu de se donner raison subjectivement, même s’il le pense de tout son cœur ;
quelles "circonstances" s’opposent au cheminement Christique de ceux qui s’y engagent ? Est il dans leur intérêt d’aller dans leur sens, puisqu’ils demandent et acceptent la guidée du saint esprit ? Ce dogme prend sens uniquement dans ce cheminement et dans une application unitaire (universelle) sociale de bien commun et de loi naturelle, les subjectivités n’ont pas à interférer, aussi fondées qu’elles semblent être et il n’est QUE dans ses critères que l’ont devraient juger de ces questions. Il n’y à pas de salut individuel et aucun "tord" ne peut atteindre le Christ en soi, si des revendications autres entrent en jeu, en plus pour dénoncer un dogme, il serait heureux que l’église les rejettent.
La notion d’amour particulier, "réussite du mariage" etc sont des notions profanes et dévoyées de l’amour au sens Divin ou spirituel qui se trouve être indissoluble effectivement mais si on exige d’imposer sa propre notion de bonheur et en plus la reconnaissance de pouvoir faire erreur dans cette exigence, on ne peut plus prétendre avoir la même volonté du Christ et œuvrer en ce sens, ceux qui s’engagent dans le cheminement d’un bonheur profane, égotique ne doivent pas entraîner l’église avec eux, c’est le seul critère qui vaille !