Oui ça colle bien, un pauvre bobo de parigot à côté de ses pompes qui voyait le bien partout dans le monde l’argent et le mal partout chez les personnes humbles te traditionnelles.
Il à fini par aller crier dans l’antre des loups, qu’il n’y avait plus de moutons dans sa bergerie...
Je me la figure très bien la scène du "petit numéro de charme"...
- Les "hommes d’affaires du proche orient" ont dû lui renvoyer des risettes complices tout en pensant : "Cette bande de clowns ridicules à fait son temps et en plus ils nous prennent pour des jambons"
- Ensuite, une fois entre gens importants (du proche orient) ils ont dire un truc du genre : "Ok faut relever l’usine à propagande mais sans les clowns"
- Problème, mis à part une loi Valls obligeant d’avoir un Charlie hebdo à jour dans les boites à gants de bagnoles, pas de solution durable.
- Le plus futé d’entre eux a dû tilter que la disparition brutale des clowns pourrait bien être une solution potentielle à tous les problèmes. (Et en plus ça ferait de la place pour quelques journalistes du "proche orient" encore plus "objectifs")
Ils ont dû hésiter trois secondes (je leur accorde ça). Mais ils ont dû se repasser mentalement son "numéro de charme", recroiser son regard de veau empli de son droit-de-l’hommisme naïf et sincère, et ils ont eu un haut le cœur, se sont dégueulé un peu dans la gorge, et la mort fut votée à l’unanimité.
De là, coup de fil au squale qui devait bien avoir deux ou trois tâches à qui baratiner un scenario d’agent secret en échange d’un passage d’éponge sur leur petits trafics.
Oui c’est une belle histoire mon truc, mais je suis sûr qu’on est pas loin de la réalité romancée...
Pour la réalité complète, il faut sans doute enlever les trois secondes d’hésitation.