Sur le site officiel de l’U.E (Europa), on apprend qu’il y a 55000 fonctionnaires et que l’échelle des traitements de base s’échelonne de 2 300 € par mois à 16 000 € par mois (hors avantages et primes).
Les traitements des fonctionnaires européens sont exonérés de l’impôt sur le revenu national.
Les pensions de retraites sont calculées sur la base de 70% du dernier traitement.
Le fonctionnement de cette administration coûte environ 6% des 145 milliards qu’elle gère, soit 8,7 milliards €.
Son budget est constitué des recettes de la TVA, des droits de douane (qui normalement devraient revenir aux budgets des pays) et aux contributions versées par les Etat membres.
La France est le 2ème contributeur avec près de 20 milliards de contributions pour 13 reçus, une perte de 7 milliards par an auquel s’ajoute le montant de la TVA et des droits de douane conservé par l’U.E.
Il faut dire que cet argent n’est pas perdu pour tout le monde.
En mettant de côté ce que nous coûtent les bras cassés qui font fonctionner cette institution, il faut savoir que le reste est réparti en subventions à des pays "moins riches" que la France, ce qui leur permet de concurrencer les salariés français à moindre coût, mais aussi du fait de leurs faibles populations à des pays "plus riches", comme le Luxembourg qui reçoit environ 3025 € par habitant contre 203 € pour la France.
Quand ces subventions ne sont pas distribuées à des pays hors U.E comme récemment l’agriculture tunisienne.
Financièrement, l’U.E est un gouffre pour la France.
Socialement, l’U.E est une catastrophe pour la France (justice, immigration, égalitarisme... tout ce qui dérape chez nous provient soit de directives obligatoires de la commission, soit de directives souhaitées que nos gouvernements ne refusent jamais d’appliquer).