Réouverture des banques et hausse de la TVA en Grèce
21 juillet 2015 03:05, par MivilleIl me semble devant les réactions de désespoir en chaîne en fait très bien calculées qui secouent en ce moment la dissidence et l’opposition mondiale que le moment est venu de démonter, de déconstruire une fois pour toutes ce spectacle d’horreur monté de toutes pièces et d’un bout à l’autre par le système.
1) La Grèce n’est le berceau d’aucune espèce de démocratie (sauf peut-être au sens de Jack Lang et Bergé), tout comme Voltaire n’est l’apôtre d’aucune tolérance. Il faudrait que Marion Sigaut règle son compte avec l’Athènes des temps classiques comme elle a fait des Lumières. Athènes ne nous est chérie en tant que symbole humaniste que suite à un endoctrinement maçonnique assez récent ayant sévi surtout dans la partie la plus anti-chrétienne du système d’éducation. Le démos grec ne voulait pas dire peuple mais cercle à recrutement sur base d’initiation homosexuelle.
2) La Grèce est bien plutôt le berceau du fatalisme (ananké), qui a fait le thème de ses tragédies, et du cynisme politique qui en découle. C’était et c’est toujours un univers culturel où la notion de bien public (res publica) n’existe pas. Les Grecs en tant qu’individus sont souvent formidables à rencontrer, exubérants, généreux ... comme les Haïtiens non corrompus par l’argent et le pouvoir également : quand on sort de l’affectif, cette culture est incapable de sens républicain.
3) La population hellénophone a connu un de ses moments historiques les plus prospères sous les Ottomans. Ce n’y était pas un peuple esclave, il y était même un des groupes les plus méprisants envers les autres ethnies, y compris les Turcs de souche, et occupant le rôle de gabelous pour l’empire : le grec en était l’anglais. C’est surtout la volonté britannique de démembrer l’Empire Ottoman qui a fait ressusciter ce pays de manière aussi arbitraire et artificielle que l’entité sioniste, et dans le cadre du même projet de NOM anti-chrétien. Depuis lors cette région la plus riche de l’empire turc est devenue une des plus pauvres de l’empire occidental, qui en est à sa quatrième faillite frauduleuse aux dépens du peuple. Plus vous versez de larmes sur son destin, plus les Onassis et Cie sont contents, cessez de croire à ce spectacle indécent monté tout exprès pour vous les semi-docs occidentaux.
4) Les Grecs actuels ne diffèrent pas ou guère génétiquement des Turcs (des Phrygiens surtout), les anciens grecs ayant jugé bon de ne plus se reproduire en raison de leur philosophie très gnostique.