La Mort du roi et les secrets de Saint-Fargeau, par Marion Sigaut
9 juillet 2015 23:05, par Jacques Abel
Il y a les gens qui ont comme culture, le ghetto, et ne savent construire que des murs qui obstruent la vue aux autres.
À côté, il y a les glorieux qui sont un encouragement permanent à la découverte, des auteurs véritables qui font de l’histoire en appliquant les méthodes éprouvées, agissants comme de petits soleils dans des univers ténébreux ils contribuent au gain intellectuel.
Madame Sigaut est de ces gens-là, il n’y a donc rien d’étonnant qu’elle soit victime d’un schisme scribanique. Dans une société totalitariste ceux qui restent fidèles à l’esprit du don, recevront toujours la grâce qui en découle.
Ce ne sont pas là des louanges, mais un constat.
Quand les crachats redeviennent pulsionnels, que l’animalité sexuelle redevient la norme, la bêtise une civilité, c’est un retour à la bestialité de l’Homme que l’on est confronté.
Les enragés ont déjà perdu, mais ils ne le croient pas encore.
Nous les y convaincrons !