Taxis/Uber : entre capitalisme conservateur et néo-libéralisme dérégulé
3 juillet 2015 20:32, par Julien
Je crois surtout qu’on confond libéralisme et capitalisme de connivence/copinage.
Actuellement, nous avons un état qui a le pouvoir sur tout : il dépense 60% des richesses du pays, contrôle le secteur de la santé, de l’energie, et vient jusqu’a interdire les feux de cheminée et les fontaines à soda.
Si vous voulez pouvoir jouer suivant des règles favorables, il suffit de faire copain avec l’etat, c’est l’exact opposé des valeurs libérales.
Revenons donc au sens des mots, plutôt que de faire comme ce qu’on reproché aux autres sur ce site : hurler bêtement avec les loups. Parler bêtement de neo-mega-turbo-ultra-liberalisme sans s’etre renseigne sur les valeurs qu’il y a derrière, est ce plus cohérent intellectuellement que ceux qui traitent dieudo et soral de fascistes sans savoir ce qu’est le fascisme, et sans avoir jamais vu un discours de dieudo ou soral ?
Un exemple ? Pas plus loin que celui de cet article, G7, dont les dirigeants ont été trésoriers des campagnes de mitterand et de hollande. Pas illogique que dans ce cadre, le monopole des taxis soit chèrement défendu par l’etat...