Le grec, le latin et l"hébreu étaient couramment lus par les intellectuels du siècle de Voltaire. (j’aime bien Voltaire, ces contes, sa correspondance et son dictionnaire philosophique. Leur lecture m’est tonique).
Et la logique du latin est assez comparable au solfège : ce sont deux outils que l’on pourrait comparer au comptage, à l’algèbre.
Au temps de Nietszche, la sélection se faisait par les langues mortes, le latin surtout. Mais le grand avantage à mon sens, c’est que les textes des auteurs latins formaient à l’Histoire, à la politique, aux sentiments élevés, à la morale, et également à toute une psychologie qui tenait les personnages historiques jusque dans leurs actes de décision.
Une immense école de formation a été détruite en remplaçanr le latin par les mathématiques.
PS : Et puis j’aime bien parler de Voltaire sur ER. C’est comme parler de Soral et Dieudonné sur RTL, la censure arrive un peu vite en ce moment, je trouve...