Georges Bataille n’a-t-il pas énoncé : "la littérature, c’est le mal" ?
L’essai de RF à propos de Rimbaud a pour sujet donc ce mal dont la littérature parle. D’ailleurs, en matière "littéraire", on ne fait que cela ! Parler du mal, faire le mal, penser le mal, écrire le mal ! Mais on l’écrit .. bien ! attention ! "Sur des pensers nouveaux, faisons des vers antiques" (Chénier).
L’homme moderne lit-il quelque chose qui parle du Bien ? Non évidement ! Avez-vous lu l’Imitation de Jésus-Christ (Editon Mame, doré sur tranche format in octavo) ? Non ! Bon, alors ? Les nazitologues ne font aussi que nous parler du mal ! Les nazimanes aussi ! C’est de l’Art !
Alors les révisionnistes, diables joyeux, sont l’avenir de l’art littéraire français. Les écrivains fascistes (Rebatet, Drieu, Céline,) avaient essayé d’en parler mais ils n’ont pas eu le temps. Eux ont le temps.
Le mal ! le mal ! le mal ! c’est ce qu’il nous faut ! ho ! ho ! ho ! ho !