L’analyse de Charles Robin est brillante.
Ce n’est pourtant pas la première fois que je l’entends, d’autres personnes moins lettrées tiennent le même discours. Mais comme l’écrit Cornélius avec ses mots, Charles Robin est un communiquant charismatique, ce qui confère un poids supplémentaire à son discours.
Cette analyse est selon moi, la clef du mieux vivre ensemble. Chacun peut en effet apporter sa pierre à l’ édifice pour une société plus juste, plus humaine et harmonieuse. Cela ne me semble pas être une utopie, mais une volonté de bon sens commun. La religion et la philosophie ne devraient pas être considérées comme antinomiques. Pour quelles raisons devraient-elles l’être ? Parce qu’une poignée d’érudits et de religieux psychorigides l’ont décidé pour nous ?
Apprendre à penser par nous-mêmes, quitte à déplaire aux autres, combien de nous en son capables ?, combien d’entre nous ont atteint ce degré de conscience ?. Pourtant, il est à la portée de tous. Mais pour l’atteindre, le sacrifice est grand et se nomme l’égaux...
Aïe ! ce n’est pas agréable et ça pique ! Mais si les plus douillés d’entre nous résistent à cette douleur (qui n’est bien souvent qu’une égratignure), quelle avancée et quelle victoire sur nous mêmes !
Comme le dit Charles robin, le chemin risque d’être long, mais l’on peut déjà entrevoir une faible lueur au bout du tunnel. Alors que les hommes et les femmes de bonne volonté ouvrent la marche, que notre France cesse de baisser les yeux et lève enfin la tête : au-dessus c’est le soleil ! Alors yalla !