Charles Robin confond conscience de classe et bien commun : la division raciale, culturelle et religieuse est une destruction du bien commun et non de la conscience de classe. Pour communier, il faut partager avec les autres des éléments raciaux, culturels et religieux. Sinon, la société se divise et s’atomise. Il faut se reconnaître dans l’autre : en quoi un français peut-il se reconnaître dans un arabo-musulman ou je-ne-sais-quel étranger ?
Le vivre ensemble est détruit lorsque l’on divise la France par l’immigration, le cosmopolitisme, le communautarisme et le multiculturalisme.
Il nous dit aussi que le régime engendre son contraire sous un enchainement dialectique. Alors il doit accepter l’idée que le régime libéral individualiste dans lequel nous vivons est l’inverse du régime monarchique fondé sur le bien commun de l’ancien régime.
Foi et raison doivent cohabiter et non s’affronter, le vrai c’est le tout comme le dit Hegel. Comme quoi, les marxistes, en voulant favoriser le matérialisme et nier l’idéalisme, disent n’importe quoi.
Les droits de l’Homme sont une création maçonnique, c’est-à-dire vétéro-testamentaire : on est un homme que si on est élu. Les catholiques ne sont pas des élus par leurs attaches au nouveau testament.
Ce n’est pas parce qu’un étranger se dit français qu’il aime la France et la respecte : lorsque l’on refuse de s’assimiler, que l’on rejette l’héritage de la France et sa civilisation, et que l’on refuse de s’inscrire dans la filiation française (et la filiation, c’est la lignée, la race), on n’est pas français, on est juste un colon et un raciste. Qui des étrangers présent en France se reconnaissent dans nos ancêtres, notre glorieux passé et notre histoire millénaire ?