Dommage qu’ils n’aient invité que des intervenants issues des sciences humaines et pas un seul avec un solide bagage en sciences dures. Les gens des sciences sociales, de pas leur formation ne connaissent souvent absolument rien aux technologies et sont incapables de faire la différence entre les annonces médiatiques sur l’état de la recherche, les communications des laboratoires qui promettent des choses extraordinaire, mais peu crédibles pour les connaisseurs afin d’arracher des subventions et la réalité effectives des avancées scientifiques.
Du coup, ils réfléchissent et philosophent sur des choses faussent. Leurs réflexions sont juste valables si on considère qu’ils traitent des discours sur la technologie dans la vie, mais pas de la réalité et des perspectives réalistes des évolutions technologiques.
Les annonces des laboratoires dans les journaux de vulgarisation peuvent paraître impressionnant, d’autant plus que les journalistes en rajoute une couche pour faire dans le sensationnel, mais quand on lit les articles scientifiques, on se rend compte que tout ça est bien limité dans tous les domaines.
Bref, sans scientifiques des sciences qu’ils vont évoquées, ce débat sera un débat fiction, intéressant par les hypothèses qu’il traitera, mais pas forcément pertinent pour anticiper les évolutions réelles que va subir la société.