Gendarmettes de Collobrières : ne pas oublier les causes profondes du drame
22 février 2015 14:00, par MEIERS
Alain Soral a raison. Imaginons juste à titre de comparaison, ce qui se serait passé dans une organisation traditionnelle masculine de la gendarmerie, par exemple dans les années 50, si deux gendarmes hommes, bâtis comme des armoires à glace, s’étaient présentés au domicile du suspect pour l’arrêter et que celui-ci aurait seulement tenté de s’emparer de l’arme d’un de ces deux gendarmes. Il aurait été jeté par terre immédiatement avec quelques coups de pieds dans les côtes, menotté et non seulement ça, mais à l’arrivée à la Gendarmerie il aurait vraiment passé un sale quart d’heure, non seulement de la part des deux Gendarmes, mais aussi de tous leurs collègues. En revanche il aurait moralement beaucoup mieux supporté ce passage à tabac, qu’une arrestation non violente de la part de deux femmes gendarmes. Même plûtot abimé à son arrivée à la maison d’arrêt il aurait été respecté comme un vrai homme de la part de ses co-détenus, puisqu’il avait survécu à son passage à tabac. Comme il n’y aurait pas eu d’assassinat, il serait passé au Tribunal, par exemple pour rébellion et condamné à une peine de prison. Même son avocat dans les années 50 lui aurait conseillé de ne pas la ramener devant le juge au sujet des violences au cours de son arrestation. Après sa libération s’il avait croisé les deux gendarmes qui l’avaient arrêté dans la rue il leur aurait dit poliment bonjour. Par contre aujourd’hui s’il avait été déféré à la maison d’arrêt arrêté par deux gendarmettes ne faisant pas la moitié de son poids il aurait été la risée de toute la maison d’arrêt et pour éviter cette situation les a tuées. Au résultat on a deux jeunes femmes mortes, dont une mère de famille, la vie de l’auteur des faits est ruinée aussi, puisqu’il sera incarcéré pour trente ans. Un beau gâchis de la société féminisée actuelle !