D’un autre côté le plagiat est devenu juste la norme chez les "nouveaux journalistes".
Je ne parle pas de cette habitude du recopiage (sans recul la plupart du temps) des communiqués gouvernementaux. Je parle du pompage par les médias "mainstream" d’articles trouvés par exemple dans la presse "de niche" (spécialisée).
Ou le pompage d’articles rédigés en anglais à l’autre bout du monde.
Et pire encore, niveau déontologique, le pompage d’idées de sujet, d’articles et de dossiers proposés par des pigistes. Le rédac’chef prend le matériel mais refuse la pige au pigiste. Six mois plus tard le sujet sortira, remanié ou pompé, signé d’un autre (généralement le rédac’chef lui-même, ou un journaliste encarté de la rédaction). Le ou la pauvre pigiste (pléonasme lol) - quand il s’en aperçoit - n’a que ses yeux pour pleurer.
Il existe même une presse spécialisée "sans journaliste". Ce sont des magazines lookalike (qui ressemblent à un titre connu / existant) dans lequel vous avez un seul type qui vole des sujets et photos à droite et à gauche sur le web généralement, c’est mis en page par un maquettiste stagiaire, le but étant de sortir un magazine plus ou moins fake au coût le plus réduit possible...
Bref, Agnès Chauveau c’est du pipi de chat par rapport à ce qui se passe au quotidien dans les médias, bien qu’en tant que prof elle se devait de donner l’exemple. Mais qui sait, elle donnait peut-être un cours de pompage ?