Un Bouteflika affaibli pour les 60 ans de la guerre d’Algérie
3 novembre 2014 10:55, par matrix le gaulois
Ce que j’espère le plus, pour ma part, c’est qu’il se soit désigné un successeur. Parce que si sa disparition signifie "lutte d’influence" voir "guerre civile" : ça ne sera pas bon pour l’Algérie et par ricochet, pas bon non-plus pour la France...mais toujours très bon pour i***ël qui jouis du chaos chez les autres.