Réflexions inspirées de la rapide lecture des interventions du pseudo « vegan » :
Le prosélytisme qui anime les Vegans et autres sectes diététiques repose rarement sur un amour désintéressé de l’humanité.
Curieusement, on observe souvent chez eux une agressivité qu’ils dénoncent parmi les carnivores comme étant leur principale marque distinctive.
L’ascétisme auquel ils se contraignent (ainsi que le régime de privation quotidien) les poussent, semble-t-il, à une rancune plus on moins consciente envers ceux qui continuent d’éprouver du plaisir à ingérer des aliments qui leur sont « interdits ».
Ils ressentent cela comme de l’obscénité. Un festin dont ils se sont exclus eux-mêmes et auquel nul ne pense à les convier se devrait au moins d’être publiquement condamné par les autorités judiciaires. Peut-être même un peu de prison ferme ? Donnez-leur un peu de pouvoir et vous verrez si j’exagère...
Il ne faut pas se tromper : il y a un esprit totalitaire et dangereux derrière tous les extrémistes de la santé et de la nourriture, même (et surtout !) quand ils cherchent à nous convaincre de leur félicité, de leur symbiose avec le monde, de leur amour des animaux, de la spiritualité, de leur soi-disant simplicité, de leur « retour aux sources », de l’écologie, des enfants indigos (lumières du monde futur !), etc.
(Ps. Celui qui a écrit ces lignes n’a pas mangé 1 gramme de viande pendant 10 ans et cela jusqu’au mois d’août 2013.)