Général de Villiers : "Il n’y a plus de gras dans nos armées, on attaque le muscle. C’est mon devoir de vous le dire"
22 octobre 2014 14:38, par Sukhoi
Ce général ne semble pas comprendre que les socialistes et leurs alliés détestent son institution par principe. Coup de bol, les statut de l’armée l’empêchent de protester de manière effective lorsque celle-ci est menacée par des politiques mortifère.
D’autres fonctionnaires, les cheminots par exemples, n’accepteraient pas le quart de ce que à quoi les militaires consentent.
Les socialistes illustrent l’une des maximes qui les caractérise le plus : "Faibles avec les forts, forts avec les faibles." bien qu’une armée réellement en colère puisse les dégager du pouvoir d’une pichenette.
Les gesticulations timides et autres communiqués de presse ne changeront absolument rien. Les mondialistes continueront à tailler dans les budgets jusqu’a la destruction totale de l’institution militaire.
2017 est une illusion qui verra le triomphe de la droite d’argent. Pour l’armée, c’est le coup d’état, ou la mort par attrition.
Faites votre choix, général.