Misère de l’occidentalisme : le syndrome tolstoïevsky
14 septembre 2014 15:37, par Erdoval
Quel souffle !
C’est vrai qu’elle est petite et faible l’Europe sans la Russie.
On préfére se tourner dans la direction du couchant plutôt que de celle du levant.
Nous nous sommes couchés, aplatis, soumis au pouvoir de l’argent facile, à la séduction des moeurs décadentes avilissantes, au mirage de la célébrité pour tous via internet.
Nous sommes prêts à tout renier, tout, notre histoire, notre culture, nos religions.
Tout, bien sûr car nous sommes dirigés par des gens sans culture, sans humanités. Sciences Po et ENA, voilà où nous sommes tombés, d’où viennent nos prétendues élites suffisantes, expertes en généralités et donc en ignorance. Ceux qui auraient dû rester les serviteurs de l’Etat sont devenus ses maîtres, ou pire les collabos des prédateurs de la finance cosmopolite, spoliatrice, dévastatrice de tout, y compris de la nature.
Il est temps de réagir afin de sauver notre peau et de cesser de chercher à avoir celle des autres.