La métamorphose de Bachar el-Assad
29 juillet 2014 11:51, par Un cendy
Celui qui accepte la lourde charge de diriger un pays n’a pas la voracité malfaisante de celui qui accapare le pouvoir par rapacité.
Il aurait pu se montrer faible et dépassé par la tâche, finalement il a fait face. Il prouve que tout n’est pas perdu dans ce que l’on nomme improprement "le monde arabe" et sa prétendue "rue arabe".