Crash du vol MH17 : l’enquête n’est pas commencée mais les coupables sont déjà nommés
21 juillet 2014 12:37, par burgerplaneEn vu des types de débris visibles (empennage, trains centraux....), il se pourrait en effet qu’un sol-air ai touché l’appareil (le sol-air a guidage s’oriente sur la masse-volume/calories dégagées, donc au centre pour un appareil commercial, plutôt en queue pour un appareil militaire).
Le problème numéro 1 que n’importe quel expert à vu même sur BFM c’est la nature très peu éparse des débris, impossible à justifier sur un avion abattu a tel altitude (il devrait y avoir pas une mais des centaines de zones de crash).
Le problème numéro 2 est l’impossibilité pour les réservoirs de rester en pressions pendant la descente libre (plusieurs vannes de sécurités indépendantes et mécaniques libèrent le carburant en cas de différentiel de pression trop élevé, comme par exemple une aile qui tombe du ciel seule et chargée), de par ce fait, la vidéo amateur (le monde.fr) montrant une boule de feu pendant le crash au sol, exclu d’emblée une touche air-sol à 10 000 m , si le carburant ne s’enflamme pas au contact (ce qui a peu de chance d’arriver), il doit s’évacuer pendant la chute.
Le problème numéro 3 est évidement la caractéristique des carcasses moteurs sur site : Malaysia utilise du GE90 comme sur tout 777-200, il apparaît sans trop se creuser le cerveau que l’on a a faire à du rolls-trent, soit un 777 un peu différent.
On notera également l’absence totale (comme dans d’autres cas....) de la vidéo initiale de décollage de l’appareil, pourtant obligatoire (tout avions civils est filmé sur site par décret d’assurance).
Désolé mais cet appareil à été abattu par un missile air-air à faible altitude (très probablement un drone), en tout les cas c’est l’explication la plus plausible en rapport aux images : impact d’artillerie faible (un missile air-air drone fait beaucoup moins de dégâts sur l’appareil qu’une batterie au sol), réservoir non vidangés complètement au contact sol, faible vitesse d’arrêt (débris centrés).
Je pense que ce que les instigateurs n’avaient pas prévu c’est l’abondance d’images non contrôlées dans un lieu en guerre et sous tensions normalement déjà difficile d’accès pour les reporters.