Edel Hardiess : la vraie banlieue s’exprime
7 juin 2014 19:09, par Gerard John Schaefer
Le rap américain que j’écoute, les mecs ils sont du terrain, ils ont une identité, même illétrés, y’a un patrimoine, dans les pires tièques, y’a du style et de la descendance, leurs aîeux du blues chantaient la violence et le sexe, les coups de surin.
Votre Edel Hardiess, c’est rien, c’est même pas de la merde...
Vous reprenez les motifs que vous dénoncez... donc, en surplus de l’incohérence, il y a une profonde méconnaissance du sujet. Vous faites d’un mauvais rap un instrument débile.
Vous ne valez pas mieux que les autres.