Hillard fait son show !
Autant certaines parties (pas toutes) de ses analyses peuvent aller dans le bon sens, que ses lignes directrices sont accrochées au néant le plus absolu. Car l’évidence est que la synagogue domine. Point ! Mais de là à conclure que l’église catholique en soit le remède... Oufff !
Il essaye vainement de cacher le lien existant de dépendance du Vatican vers Tellabite. Ou il l’enjolive, car comment cette bande de comploteurs catholiques, toujours près du pouvoir, toujours contre les pauvres, toujours corrompus, pourrait représenter un espoir quelconque ?
L’église n’est que la reproduction fidèle du modèle judaïque d’organisation sociale, les vices en moins. En tous cas ils ont toujours été avides de pouvoir, de richesses, de monopole et de connerie épaisse à distribuer au peuple.
Essayer de raconter le mondialisme par le petit (tout petit) bout de la lorgnette du catholicisme, et cracher en passant sur Poutine, ce divorcé (non, mais...), c’est vraiment nous estimer peu et appréhender d’une manière manichéenne la réalité complexe et diversifiée.
L’église ne représente plus rien et ne sera plus jamais une référence morale ni sociale, car nous avons la liberté de choix. Elle est destinée, si liberté de culte nous est permise au milieu de tous ces monothéismes, à ne représenter que les 10% de croyants qui pratiquent encore quelque chose, mais ne savent pas chanter une messe.
Son livre et ses analyses sont teintées d’une couleur prononcée pour des thèmes qui lui sont chers, mais n’apportent rien aux non-croyants, dont je suis.