L’Église de Scientologie, Arseni Yatseniouk et Andrej Kiska
2 avril 2014 19:43, par claire49Ie mot "secte"n’a aucune définition juridique.Utilisé pour faire peur par des associations comme l’UNADFI qui en ont fait leur fonds de commerce depuis plus de 30 ans sur le dos des contribuables ainsi que par la Miviludes dont les cibles principales sont maintenant les médecines alternatives qui menacent les intérêts de l’industrie pharmaceutique !
Voici ce que le sociologue des religions Régis de Ricquebourg dit de la Scientologie :
« La Scientologie présente les caractéristiques d’une religion. Elle possède une théodicée, un ensemble d’exercices qui permettent d’atteindre la partie spirituelle de chaque être humain."
Après d’autres pays, la Cour administrative d’Appel d’Amsterdam a rendu le 17 octobre 2013 une décision historique dans laquelle elle conclut que : « L’Eglise de Scientologie d’Amsterdam est une association d’utilité publique parce qu’il s’agit d’une association dont les activités sont uniquement de nature religieuse ou philosophique. »
En ce qui concerne Aleister Crowley cité par Laurent Glausy plus haut ,voici ce qu’on apprend dans la biographie de Ron Hubbard écrite par J. Gordon Melton,la première à n’avoir été écrite ni par l’Eglise de Scientologie, ni par un journaliste ou un ex-adepte ayant des comptes à régler avec la scientologie ou cherchant le succès à travers la presse à sensation.
"Tout de suite après la guerre, en décembre 1945, alors qu’il est encore en service, Hubbard traverse l’un des plus étranges épisodes de sa longue vie en s’impliquant dans les activités de l’Ordo Templi Orientis (OTO). L’OTO, groupe de magie rituelle, est alors dirigé par le vieil Aleister Crowley (18751947)...
Hubbard a toujours nié avoir eu de la sympathie pour l’OTO (c’est aussi la version de l’Église de Scientologie). Il a déclaré qu’en sa qualité d’officier de renseignement, il avait été envoyé pour sonder Parsons et la Loge. L’immeuble qui servait de siège à la Loge abritait aussi un certain nombre de physiciens nucléaires qui travaillaient au Cal Tech (ces hommes figureront parmi les soixante-quatre physiciens qui seront plus tard limogés par le gouvernement pour atteinte à la sécurité). Hubbard affirma que grâce à ses efforts, ce siège avait pu être fermé,
une fille sauvée du groupe, lequel avait fini par être dissout."