Suicide des patrons de PME : la terrible réalité
19 février 2014 13:38, par Heureux qui, comme Ulysse...Encore une fois, qui fut le premier à faire la distinction en place publique entre les patrons entrepreneurs propriétaires de leur entreprise et les bons à rien apatrides formés par l’Empire pour les supplanter, et de réaffirmer encore il y a peu que personne ne bosse autant aujourd’hui que les patrons de PME ?
Le résultat est bien là, tous ces petits crétins manipulés à la pensée dogmatique "cégétiste" mâtinée de marxisme (vous savez, ce grand bourgeois juif qui prétend que toute la sociologie humaine repose sur uniquement sur "la lutte des classes") qui pleurnichent aujourd’hui alors qu’il n’ont eu de cesse que d’abattre leur employeur, contre qui vont-ils manifester maintenant ? Les fachos ? Oui, sûrement !
Tous ces hauts fonctionnaires et ces agents de la Banque qui marchent main dans la main depuis toujours, ils sont des gens intègres et généreux. Il faut dire qu’ils sont républicains, de gauche, communautaires et souvent engagés (LGBT et autres fondations ou ONG très portées sur le "charity business"), mais qu’ont-ils produit d’utile pour le bien commun ? Rien !
Avant, notre modèle produisait des richesses qui, in fine, étaient partagées par tous. Il est certain que les méchants étaient plutôt de culture catholique, les inégalités existaient... mais le pouvoir politique permettait l’émergence de classes moyennes par un impôt juste et donc une redistribution perfectible mais réelle. Aujourd’hui, le "progrès" veut que l’intégralité de l’impôt sur le revenu finisse dans les caisses des banques pour "rembourser" l’intérêt d’une dette qui n’existe pas !
Henry Ford ou Louis Renault étaient des salauds curieusement pas trop judéo-compatibles, mais ils produisaient des voitures que les gens achetaient et fournissaient du travail au plus grand nombre. C’est pour cela que le grand républicain chrétien Léon Blum avait choisi les usines de Louis plutôt que celles d’André pour déclencher la crise sociale de 1936. Une bonne occasion de relever une rare erreur d’analyse d’Alain Soral, La Régie de Dreyfus signa la mort de l’automobile française, pas son renouveau. Bon d’accord, côté chevrons, ils étaient plus "bankstérisés" et portés sur l’étoile de David que les gens du losange. Aucun rapport donc ! A moins que...
Bref, la destruction volontaire du tissus économique, industriel et social ne date pas d’hier, par le passé comme aujourd’hui, les mêmes en sont la cause profonde, le comprendre, au-delà de toute considération idéologique, nous fera grandir.