Jacky Sigaux fait référence à un moment au livre de Norman Finkelstein, L’Industrie de l’holocauste ), ( avec une postface de Remi Brauman)
Un thème à développer
Lu sur Wikipedia :
Finkelstein distingue l’« holocauste nazi » (le fait historique) et l’« Holocauste » (avec un H majuscule, la campagne de relations publiques menée selon lui depuis 1967 surtout aux États-Unis). C’est ce second aspect qu’il appelle « l’industrie de l’Holocauste ».
Dans son livre, il défend la thèse d’une « industrie » qui consiste en l’exploitation, sous des dehors éthiques, de l’holocauste nazi pour générer pouvoir et amasser de gros capitaux. Cette industrie aurait à sa tête des organisations juives américaines cherchant la suprématie ethnique et le gain politique et financier.
Quelques-unes des principales critiques formulées par Finkelstein dans son ouvrage :
Le gain politique pour ces organisations juives se manifesterait dans l’effort de rendre pratiquement impossible toute critique, fondée ou non, sur Israël et sur la communauté juive américaine3 ;
La poussée vers le gain financier se manifesterait par la pression exercée sur des gouvernements et des entreprises. Elle serait également mise en lumière par l’instigation de sentiments de culpabilité aux populations allemande et suisse dans leur ensemble, en relation avec de nombreux dépôts bancaires faits par des Juifs avant ou pendant le nazisme et que leurs descendants n’arriveraient pas à récupérer (fonds en déshérence) ;
Les musées de l’holocauste monopoliseraient la souffrance de la Shoah pour les Juifs en excluant les autres groupes persécutés par les nazis ;
Les survivants de l’holocauste seraient plus nombreux en 1998 qu’en 1945 ;
Un grand nombre de réclamations d’indemnité indues ont été introduites par des fraudeurs prétendant à tort avoir survécu à l’holocauste ;
Certains efforts pour compenser la souffrance des survivants juifs à l’holocauste se font de façon malhonnête ;
Certaines agences (représentant des groupes juifs) qui prétendent représenter des survivants juifs de l’holocauste dans des cas judiciaires auraient retenu pour leur propre usage des fonds destinés à des survivants individuels ;