A 20mn04 Sapir badine sur un sujet tout à fait capital en parlant de ne pas choquer ses amis banquier à un moment où il faudrait les mettre à l’ombre pour quelques décennies.
Il parle ensuite de stabiliser la dette des banques alors que les banques en faillite n’ont pas à être sauvées. elles coulent et tous les actionnaires ruinés et leurs employés pointent au chômage comme tout le monde. Ce qui les emmènera à réviser, soit dit en passant, leur vision sur les soi-disant enculés d’assistés.
Les banques privées ayant coulées comme les merdes qu’elles sont, les voleurs des fabuleux gains de productivité que les occidentaux ont fait depuis tout le 20ème siècle en taule, ce sera à l’État de prendre en main ce secteur d’activité afin d’en faire un secteur publique.