L’Union européenne renonce à la traçabilité alimentaire…pour ne pas fâcher les États-Unis
21 décembre 2013 18:12, par nanabelIl ne faut pas perdre de vue que les gens (on va les appeler comme ça) sont avant tout des consommateurs. Et d’après les experts en marketing, le consommateur de base n’aurait que 70 de QI. Aussi plus le message est débile, plus il sera à même de le comprendre.
Le consommateur, quelque soit son niveau intellectuel, n’achètera pas un produit qu’il ne connaît pas. Par le biais de la pub, l’industrie peut absolument tout vendre y compris des produits nocifs, frelatés, voire mortels. Pour preuve ; les affaires médiatiques du cheval vendu au prix du bœuf et de la bactérie mortelle E.Coli (issue des excréments de l’animal abattu) n’ont engendré aucune modification de la consommation de viande industrielle.
Une théorie, avancée par des biologistes spécialisés dans l’étude de l’ADN, résulte que l’ingestion quotidienne, massive et à grande échelles, d’éléments non reconnus par l’organisme, peut en seulement 4 générations, modifier l’ADN par imprégnation. La pousse de dents surnuméraires chez les bovins nourris de farines animales montre que l’ADN s’adapte très rapidement aux changements alimentaires. Il se peut donc qu’en 1 ou 2 siècles l’humain ait besoin d’apports synthétiques dans son alimentation. La survie d’une espèce passe par sa capacité à adapter son organisme aux changements alimentaires, qu’ils soient naturels ou synthétiques : on est ce que l’on mange.
Si l’on considère que l’évolution d’une espèce est liée à la capacité de son ADN à s’adapter et non à résister aux agressions et modifications de son environnement, alors on peut considérer que les maladies génétiques, stérilités, ou maladies chroniques dégénérescentes sont autant de manifestations de résistances de l’organisme, ou d’incapacités à s’adapter aux changements alimentaires. Il suffit que l’imprégnation d’un seul brin ADN, ainsi modifié, soit compatible à la reproduction, pour générer une nouvelle paire de chromosomes donnant une nouvelle branche d’évolution : c’est-à-dire une nouvelle race d’humains. Le risque de diminuer les capacités mentales des individus ne nuit pas à la survie de l’espèce, de tout temps l’homme a su adapter ses capacités cognitives à son niveau de compréhension. L’humain est sans conteste l’animal le plus adaptable, ce qui le place au sommet de la chaîne alimentaire.