Je suis d’accord avec lui, dans la mesure bien sûr de ce que je peux en voir et en comprendre, sur la conclusion.
Et d’une certaine manière je trouve ça très démocratiques que les "plus médiocres" d’entre nous aient aussi les moyens de briller particulièrement dans nos sociétés telles qu’elles sont structurées.
Je parle bien de médiocrité de fond et pas de forme, évidemment.
Comme un perroquet pourrait se gargariser des plus belles citations sans en connaître le sens.
Bon, malgré les particularités définies dans cet exposé, on retrouve de manière très récurrente ce type de fonctionnement ailleurs, dans d’autres types d’associations humaines.
Peut-être en ce cas, il y a optimisation d’une forme de soumission "consentante" sans besoin d’explication, d’argumentation.
Ce qui est donc l’idéal pour tout ambitieux qui n’a pas besoin de trop réfléchir ni d’autre sens véritable que le confort d’un opportunisme protégé.
Bien suffisant comme summum de l’accomplissement pour beaucoup, et bien loin de ce qui est sensé faire de "l’homme" un être de valeur particulière sur nôtre planète.
Ceci représente une des failles de nos sociétés : la hiérarchie sociale ne représente aucunement une éventuelle hiérarchie humaine selon nos valeurs les plus grandes et les plus particulières, qu’en plus nous revendiquons.
Elles semble au contraire être totalement transposable à d’autres espèces animales qui s’en tiennent grandement au rapport de force et au parasitisme.
Sommes-nous obligés d’en rester à ces niveaux ou avons-nous l’intention de progresser et de les dépasser, ou tout au moins les contrôler ?
Si la vie se résume au confort que l’on y trouve, cela reste dans le domaine de l’instinct de survie, pas de ce qui fait que nous sommes porteurs et acteurs de notre destin.
Pas de ce qui nous fait pouvoir nous émanciper.
Pas de ce qui fait que nous sommes capables de réellement grandir.