Le petit texte cité est une perle. C’est toute la bêtise du gauchisme contemporain qui y est capturée. La gauche a le monopole du cœur, c’est elle qui s’intéresse à l’humain, la défense des pauvres et la justice. Le droite, elle, tout ce qu’elle veut c’est du chiffre.
Cette absurdité est très courante, elle est même au cœur du logiciel politique de la jeunesse depuis 68. Mais on met rarement des mots dessus, préférant laisser les sous-entendus faire le travail. Alors merci au répugnant Perdriel pour participer avec autant d’enthousiasme à rendre explicite et manifeste le degré d’abrutissement politique dans lequel on baigne.