Un auditeur de RMC dénonce la manipulation de l’antiracisme officiel
5 décembre 2013 17:29, par sonnagle commentaire ci dessous, n’est pas de moi, je suis alle le "recuperer" dns un forum,dont le sujet etait : fusillade dns un quartier de Toulouse.... que l’auteur "tonton gourmand" m’en excuse, j’avoue ne pas avoir assez de talent pour pondre un texte pareil , mais je l’ai trouvé tellement criant de verité.... :
Depuis 68, globalement les français de souche sont devenus libéraux, matérialistes et individualistes. Ainsi, aujourd’hui notre société n’a plus aucune valeur d’adhésion ni d’idéal commun positif à proposer aux immigrés.
Au contraire, ce qu’ils voient de nous les poussent à se sécuriser en se retournant vers leurs propres valeurs et en particulier vers le communautarisme.
Qui peut adhérer à un modèle libéral qui a détruit la famille,l’autorité, le tissu social, le sacré et qui a réifié l’Homme ?
Dans le même temps la dérégulation libérale et l’idée que chacun peut faire sa règle créent la barbarie ; ce à quoi nous sommes en train d’assister. D’où le chaos social que nous commençons à voir.
Pour finir il n’y a pas un libéralisme économique qui serait mauvais et un libéralisme social qui serait bon. Le libéralisme est un tout indivisible.
D’ailleurs plus rien ne différencie la gauche libérale de la droite libérale , sinon à la marge des considérations d’ordre purement sentimental.
Le sentimentalisme étant l’ultime anesthésique électoral du libéralisme global.
Oui le libéralisme global est la cause de nos maux et il serait du devoir des politiques d’en réguler sévèrement les excès.
Ils en sont incapables car tous fondamentalement libéraux et d’ailleurs notre société n’y est pas prête qui est encore complètement submergée par les idéaux de 68.
Par conséquent nous allons assister à une lente dérive qui va nous conduire dans un chaos social comparable à celui de certains pays d’Amérique centrale.
S’il y a bien trop d’immigrés, nous ne pouvons ni leur reprocher de les avoir laissés entrer ni leur reprocher de se raccrocher à leurs valeurs puisque nous n’en avons plus.
Le processus de décomposition final de notre société est désormais irréversible. Le réformisme est un cul de sac et nous sommes désormais trop divisés pour conduire un changement de société cohérent.
Voilà...